martes, 24 de septiembre de 2013

HOLLYWOOD  BOULEVARD   
THE STREET OF STARS

Hi my dear friends, I'm here again and today we are going to look at Hollywood Boulevard.  Millions of tourists visit every year this famous avenue and its Walk of Fame.  More than 2,000 stars can be seen on the floor which honour great Hollywood artists.


Hola mis queridos amigos, aquí estoy otra vez y hoy vamos a mirar a Hollywood Boulevard.  Millones de turistas visitan cada año esta famosa avenida y su Paseo de la Fama.  Más de 2.000 estrellas se pueden ver en el suelo que honran a grandes artistas de Hollywood.


(INFO from Speak up magazine)

WHY ARE WE HERE?
What is the Walk of Fame?  Look down at the sidewalk  (acera) of Hollywood Boulevard.  You'll see five-pointed stars.  There are over 2,400 of these stars and they run for 2 kilometres along the avenue.
They commemorate the lives and achievements (logros)  of Hollywood's greatest celebrities.

BIG NAMES

The first stars were set in place on February 8th, 1960.  They celebrated actors like Joanne Woodward, Burt Lancaster and Ronald Colman.

Today,  there are celebrities from film, television, radio, music and the theatre.

There are stars for everyone, from Michael Jackson and John Lennon to Walt Disney and Charlie Chaplin . Muhammad Ali has a star but it is set into a wall because he didn't  want anyone to walk on him!!

DECLINE

Hollywood Boulevard wasn't so famous in the 1970s and almost lost its magic.  The stars moved out to Beverly Hills.

The avenue soon had a reputation for crime and violence.  However, today the zone is safe again. There is an enormous   shopping centre "Hollywood and Highland" and the adjacent Kodak Theatre.

The Kodak Theatre is now the venue of the Oscar Awards ceremony and visitors can walk up the "Awards Walk" into the theatre and imagine they are stars on the famous red carpet!

GRAUMAN'S CHINESE THEATRE

Next door there is Grauman's Chinese Theatre.  This is the most famous movie theatre in the world.

A huge dragon and two lion-dogs guard the entrance.  Its forecourt (patio delantero) is famous for the hand and foot imprints set into the cement.

LAS PALMAS HOTEL

Visitors must also visit Las Palmas Hotel.   Julia Roberts was Richard's Gere guest here in the film PRETTY WOMAN.

The Capitol Records Building is world-famous.  It was the world's first circular office building.

And don't miss the Hollywood Entertainment Museum.  Exhibits include the bridge of STAR TREK'S USS Enterprise and the bar from CHEERS.



HOLLYWOOD BOULEVARD TOURS

A good way to see Hollywood Boulevard is on Starline's Hollywood Trolleybus Tour.

Are you interested in film-making?  Then visit Los Angeles Permit Office and get the day's Shoot Sheet  (lista de rodajes).  This is a list of films currently on location in Los Angeles.

WALK OF FAME HISTORY

Hollywood Chamber of Commerce president EM Stuart had the original idea for the Walk of Fame in 1953.

The stars included a caricature of the celebrities but that was too expensive.

A committee chose the first stars to be commemorated.  They chose eight stars, including Charlie Chaplin.

Today, to nominate a star for the Walk of Fame costs $30,000!

You need a sponsor, of course!


**Have you ever been to Hollywood Boulevard?

**¿Habeís estado alguna vez en Hollywood Boulevard?

**Please, tell me your experience and the things you liked most.

**Por favor, contadme vuestra experiencia y las cosas que más os gustaron.


HAVE A NICE DAY!!!

lunes, 16 de septiembre de 2013

ARSÈNE LUPIN, Gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc. CLE International , www.cle-inter.com

.../... continuation



LE COFFRE-FORT DE MADAME IMBERT...

CHAPITRE - 2 -

Arsène Lupin dit qu'il vit dans la misère, et aussitôt monsieur et madame Imbert décident de le nommer secrétaire particulier.  Pour 800 €  par mois, il continue à habiter chez lui, mais il vient chaque jour travailler ici.  Deux chambres du deuxième étage sont libres, il choisit celle située au-dessus du coffre-fort comme bureau.

Très vite, il s'aperçoit qu'il n'a pas beaucoup de choses à faire.  Quatre lettres en deux mois, une seule conversation dans le bureau de son patron ...  Donc une seule opportunité de voir le coffre-fort!

Ce n'est pas suffisant, alors il trouve d'autres occasions pour rendre visite au coffre-fort.  Un jour, enfin, il est seul devant le coffre.  Impossible de l'ouvrir!

Il doit trouver une ruse (astucia).  Après des heures d'observation, il perce (perforar) un trou (agujero) dans le parquet de sa chambre et fait passer un tuyau (tubo) qui va lui permettre de voir et d'entendre ce qui se passe dans le bureau du dessous.  À partir de ce moment, il reste des heures à observer le bureau du premier étage.
Il voit  souvent monsieur et madame Imbert devant le coffre-fort;  ils manipulent des dossiers.  Pour ouvrir le coffre, monsieur Imbert tourne plusieurs fois les quatre boutons qui commandent la serrure (cerradura). Arsène Lupin écoute alors attentivement, pour essayer de deviner chaque chiffre de la combinaison secrète. Mais que font-ils de la clé?  Où est-elle cachée?  Arsène ne le sait pas.


Un jour, il voit les Imbert qui sortent du bureau, sans refermer le coffre.  Mais quand il descend, ils sont déjà revenus.

- Oh!  Excusez-moi, je me suis trompé de porte.
- Entrez donc monsieur Lupin, vous êtes ici chez vous...
- Nous voulons un conseil:  quelles actions devons-nous vendre, cher ami?

Gervaise prend un paquet dans le coffre.  Son mari lui dit:

- Non, il ne faut pas vendre L'Extérieure,  elle va monter ...  La Rente est au plus haut, il faut la vendre maintenant.

Un jour, Arsène Lupin entend que Gervaise et Ludovic Imbert ont décidé de faire l'inventaire de leur coffre.

"Ce pour ce soir", pense Lupin.  Il écoute.  Ludovic arrive dans son bureau, puis Gervaise.  Ils vérifient un par un les documents du coffre.  Arsène Lupin attend que les employés se couchent.  Il est minuit.  Il n'y a plus personne au premier étage.  Les Imbert n'ont pas terminé.

"J'y vais", pense Lupin.  Il ouvre sa fenêtre.  Il fait noir, il n'y a pas de lune, ni d'étoiles.  Il attache une corde à son balcon et il se laisse glisser jusqu'à l'étage du dessous.  De gros rideaux épais cachent l'intérieur.  Il reste immobile.  Puis il pousse légèrement la fenêtre qu'il a ouverte de l'intérieur, dans l'après-midi.  L'air froid entre dans le bureau.

Alors, Gervaise dit à son mari:
- J'ai froid.  Je vais me coucher.  Et toi?
- Je voudrais finir.

Gervaise sort.  Arsène Lupin attend vingt minutes, puis trente.  Il entre par la fenêtre.  Ludovic se retourne et voit les rideaux gonflés par le vent.  Il se lève pour fermer la fenêtre ...
Il n'y a pas un cri.  Avec quelques gestes précis, Arsène enveloppe le visage de Ludovic dans le rideau et l'attache.  Monsieur Imbert ne voit pas le visage de son agresseur.

Rapidement, Arsène prend des paquets d'actions dans le coffre, descend l'escalier, traverse la cour (patio) et ouvre la porte de service.  Son complice l'attend dans une voiture.  En deux allers et retours, les deux voleurs vident le coffre.  Puis Arsène monte dans sa  chambre, retire la corde.  Il n' y a plus de trace de son passage. Le plan a réussi (triunfado).

Quelques heures après, Arsène Lupin et son complice regardent attentivement ce qu'ils ont volé:  la richesse des Imbert n'est pas si considérable.  Et puis, ils ne peuvent pas vendre les actions tout de suite...

Le lendemain, Arsène retourne à l'hôtel Imbert.  Mais tous les journaux parlent de la disparition de Ludovic et de Gervaise.  Le coffre est ouvert par les policiers qui trouvent très peu de choses.

Pourquoi monsieur et madame Imbert n'ont pas dit à la police qu'on leur avait volé des millions d' €uros? Arsène Lupin ne le sait pas.  Il n'a jamais revu les Imbert et n'a pas de pitié pour eux, car tous les documents volés étaient des FAUX!  Et les Imbert ont dit à tout le monde qu'Arsène Lupin était André Brawford...
Donc les banques leur prêtaient de l'argent sans problème.

Quelle leçon pour un débutant!  En plus, Gervaise doit 1500 €  à Arsène Lupin!  Toutes ses économies...

Arsène Lupin perd donc 1500 € à cause d'une vieille dame.  IL pense lui voler des millions et après des mois d'efforts, c'est LE VOLEUR QUI EST VOLÉ!!!

                                                              F  I  N



miércoles, 11 de septiembre de 2013

ARSÈNE LUPIN, gentleman cambrioleur  de Maurice Leblanc.  CLE International. www.cle-inter.com




Bonjour mes amis, on va lire un peu!  Aimez-vous les histoires de detectives? de  cambrioleurs? de bijoux? 
Il y a un cambrioleur à Paris qui est au même fois "un gentleman" et qui aime les objets d'art et les bijoux précieux!  Il est astucieux et impertinent mais toujours sans violence! Son nom? : ARSÈNE LUPIN!


Hola amigos, ¡vamos a leer un poco!  ¿Os gustan las historias de detectives? ¿de ladrones de guante blanco? ¿de joyas?.  Hay un ladrón en París que es al mismo tiempo "un caballero" y al que le gustan los objetos de arte y las joyas preciosas.  Es astuto e impertinente pero siempre sin violencia. ¿Su nombre? : ¡ARSÈNE LUPIN!

**Arsène Lupin apparaît dans un grand nombre d'histoires policières que le public lit pour la première fois en 1905, dans le magazine "JE SAIS TOUT".

Arséne Lupin aparece en un gran número de historias policiacas que el público lee por primera vez en 1905 en la revista "LO SÉ TODO".


**Arsène Lupin est un cambrioleur élégant, qui vit au début du XXème  siècle, à Paris.  Il aime les objets d'art et les bijoux les plus précieux.  Il s'introduit chez les gens riches pour voler, mais il agit sans violence.

Arsène Lupin es un ladrón elegante, que vive a comienzos del siglo XX en París.  Le gustan los objetos de arte y las joyas más preciadas.  Entra en las casas de los ricos para robar, pero siempre sin violencia.


**Le personnage est astucieux et impertinent.  Il adore se métamorphoser pour échapper à l'inspecteur Ganimard.  Il n'hésite pas à laisser des preuves de son passage pour tromper la police.

El personaje es astuto e impertinente.  Le encanta disfrazarse para escapar del inspector Ganimard.  No duda en dejar pruebas de su paso para equivocar a la policía.



ON COMMENCE AVEC L'HISTOIRE!
¡Empecemos con la historia!

CHAPITRE 1-  LE COFFRE-FORT DE MADAME IMBERT-

Capítulo 1 - La caja fuerte de la Sra. Imbert.

À trois heures du matin, il y a encore quelques voitures devant le petit hôtel du boulevard Berthier, à Paris. La porte s'ouvre.  Les invités sortent, des hommes et des femmes partent en voiture.  Il ne reste qu'un monsieur, au coin de la rue de Courcelles, décidé à rentrer à pied jusqu'à la porte Maillot.  Il traverse l'avenue de Villiers et continue son chemin sur le trottoir opposé.

Par cette belle nuit d'hiver, il a plaisir à marcher.  On respire bien.  Mais  il a l'impression désagréable que quelqu'un le suit. Il se retourne et aperçoit l'ombre d'un homme entre les arbres alors, il préfère marcher plus vite.
L'inconnu le suit toujours.  Il s'arrête et se prépare à sortir son revolver.  Mais l'inconnu se précipite sur lui. 
L'homme appelle au secours (socorro);  il est par terre et l'agresseur lui met un mouchoir (pañuelo) dans la bouche.  Ses yeux se ferment, il s'évanouit  (se desmaya).

À cet instant, l'inconnu reçoit un coup de canne (bastonazo), il crie et s'enfuit (huye).

Quelques minutes s'écoulent, l'homme ouvre les yeux et aperçoit quelqu'un qui lui demande: "Êtes-vous blessé (herido), monsieur?"

Il n'est pas blessé, mais a du mal à se tenir debout ( de pie).  Attirés par les cris  d'autres personnes arrivent.  Puis une voiture. L'homme est conduit à son hôtel de l'avenue de la Grande-Armée, accompagné de son sauveur (salvador).

- Je vous dois la vie, monsieur.  Vous pouvez croire que je n'oublierai jamais.  Je veux vous présenter ma femme, venez déjeuner (comer) demain.  Je m'appelle  Ludovic Imbert.

Puis il demande:
- Et vous?  Monsieur...

- Arsène Lupin, répond le sauveur.

À ce moment, Arsène Lupin n'est pas encore célèbre (famoso).  Il ne s'appelle même pas Arsène Lupin. C'est un nom qu'il a imaginé pour désigner le sauveur de monsieur Imbert.  Il a décidé de devenir un cambrioleur redoutable, mais il n'a pas beaucoup d'expérience.

Le lendemain (al día siguiente), quand il se réveille, Arsène Lupin se rappelle aussitôt l'invitation de la nuit. Enfin il va approcher les millions des Imbert ...

Il s'habille pour le déjeuner.  Il veut être élégant, mais ses vêtements font apparaître sa pauvreté.  Il quitte son appartement de Montmartre.  Il descend l'escalier et il frappe avec sa canne à la porte du troisième étage, mais il ne s'arrête pas.

Sur les boulevards extérieurs, un tramway passe.  Il monte dedans (dentro), suivi du locataire (inquilino)  du troisième étage qui s'assoit à côté de lui et lui dit:

- Eh bien, patron?
- Eh bien c'est fait.
- Comment?
- Je déjeune avec eux.
- Vous déjeunez!
- Eh oui, j'ai sauvé la vie à ce monsieur que tu as attaqué.  Et il m'invite pour me remercier.
- Mon petit, dit Arsène, si j'ai imaginé cette agression cette nuit, si je suis venu te donner un coup de canne à trois heures du matin, ce n'est pas pour abandonner maintenant.
- Mais, ce que les gens disent de leur richesse...
- Laisse-les dire.  Depuis six mois, je me renseigne, j'étudie, j'interroge les serviteurs, j'observe le mari et la femme...  Je ne sais pas si tout l'argent vient du vieux Brawford, mais je sais que cet argent existe.  Et comme il existe, il est à moi.
- Cent millions!!!
- Bon, disons dix, ou même cinq!  Il y a de gros paquets d'actions dans le coffre-fort.  Je vais bien trouver la clé, un jour ou l'autre.
- Et pour le moment?
- Pour le moment, rien à faire.  Nous avons le temps.

Le tramway s'arrête place de l'Étoile.  Cinq minutes plus tard, Arsène Lupin monte le somptueux escalier de l'hôtel Imbert.  Ludovic le présente à sa femme, Gervaise.  C'est une bonne petite dame, toute ronde.  Elle fait à Lupin le meilleur accueil:

- Fêtons notre sauveur!  dit-elle.

Et ils déjeunent tous les trois.  Arsène raconte sa vie, les tristesses de son enfance, les dificultés du présent.
Gervaise parle de son mariage, des cent millions du vieux Brawford et des obstacles qu'ils connaissent pour bénéficier de l'héritage (herencia).

- Pensez, monsieur Lupin, les actions sont là, dans le bureau de mon mari. Elles sont là, dans notre coffre-fort et nous ne pouvons pas les utiliser...

À SUIVRE...

CONTINUARÁ...

"GREAT CRIMES" by John Escott- OXFORD UNIVERSITY PRESS.




THE GREAT TRAIN ROBBERY (following) and some curious facts about famous robberies.

EL ROBO AL TREN DEL DINERO (continuación) y algunos hechos curiosos sobre robos  famosos. 


.../...
in Dover on the south coast of England.  Police suspected that he was trying to get abroad ( al extranjero). Buster Edwards gave himself up  (se rindió)  in 1966.  And Bruce Reynolds -the leader of the gang- was finally caught in 1968.  He was arrested in Torquay, in Devon, and was sent to jail for 25 years.

Two of the gang were not in jail for long.

In August 1964, Charlie Wilson escaped from Birmingham's Winston Green prison when three men broke into the prison to release him (liberarle),  even though prison officers were watching him carefully because they suspected that he was a person likely to try to escape.

In July 1965, Ronnie Biggs got out of Wandsworth prison with three other prisoners while they were walking between the prison buildings.  The four men climbed the 6 metre prison wall using a rope ladder (escalera de cuerda), which had been thrown down by one member of an "escape gang"  outside.

Charlie Wilson went to France and Mexico after his escape, but was finally caught again in Canada in 1967.

Ronnie Biggs finally went to live in Brazil, after first escaping to Australia.  He was still there, living in Rio de Janeiro with his girlfriend and their child but  he has recently  asked for coming back to England because of his age and because he wanted to  die in his country.  Until that moment, English lawyers and the English police couldn't do anything about him!

Four gang members were NEVER caught.


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CURIOUS FACTS ABOUT ROBBERIES!!

HECHOS CURIOSOS SOBRE ROBOS.

** The first train to be robbed was in America.  On October 6, 1866, four brothers, John, Simeon, William and Frank Reno, stopped the train near Saymour, Indiana, and stole  10,000 dollars.

** Two other famous train robbers were ROBERT LEROY PARKER and HARRY LONGBAUGH, better known as "Butch Cassidy" and "The Sundance Kid".
These famous criminals robbed trains and banks throughout North and South America in the late 1890s.
From 1901 they lived in South America, and it is believed that they were shot dead by soldiers in Bolivia in 1909.


** Ned Kelly was probably Australia's most famous criminal.
He, his brother Dan, and two other men, were responsible for many robberies during the years 1878 to 1880.
Ned wore a strange metal suit to protect himself, but was finally caught.
He was hanged (ahorcado)  in Melbourne in 1880.

** In January, 1950, seven men, wearing "funny-face" masks, broke into (irrumpieron) the Brinks Armoured Car Company in Boston, America and stole nearly 3 million dollars.  It took 6 years and cost 29 million dollars before the criminals were caught and brought to trial.


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martes, 10 de septiembre de 2013

"GREAT  CRIMES"


Hi again my dear followers. Today I'm going to start an English  reading. This is a story about a robbery, a train robbery.
Many of us love reading about crime and robberies in the newspapers and reading stories about Sherlock Holmes and the other great detectives.
This story  is about a famous train robbery which happened in 1963.

Hola otra vez mis queridos seguidores.  Hoy voy a empezar una lectura en Inglés.  Es una historia sobre un robo, el robo de un tren.
A muchos de nosotros nos encanta leer sobre  crímenes  en los periódicos y leer historias sobre Sherlock Holmes y otros grandes detectives.
Esta historia trata sobre un famoso robo a un tren que sucedió en 1963.


"THE GREAT TRAIN ROBBERY"  by John Escott - OXFORD BOOKWORMS - Oxford University Press (ISBN 0-19-422850-9)

Chapter 1.
In the early hours of August 9, 1963, the night mail train from Glasgow to London's King's Cross Station was making good time.  But for the driver, 58-year-old Jack Mills, and his assistant, 26-year old David Whitby, this would be a night that they would remember for the rest of their lives.  Mills, especially, would always be a sick man and, indeed, would die young, after what was about to happen!

Nearly all the train's  12 coaches (vagones)  were used as offices for the ROYAL MAIL, for sorting (clasificar)  the letters and packets into groups for different towns and cities.
One special coach -for valuable packets- was carrying 128 bags of old money.
The money was old banknotes (billetes)which were on their way to the Royal Mint (La Fábrica de la Moneda) -the place where banknotes are made- to be destroyed.

At 3.03 a.m., almost 80 kilometres from London and near the small village of Cheddington, Jack Mills suddenly saw a red signal.  He immediately brought his engine to a stop.  It was unusual to find a red signal here, so David Whitby got out of the engine to walk to the emergency telephone, which was behind a signal box.  But two men in black balaclava helmets (pasamontañas)  came out of the darkness and pushed him down on the ground at the side of the railway.  One man told Whitby: "If you shout, I'll kill you"!

Two men climbed into the engine and Jack Mills tried to fight them.  One of the men hit Mills over the head.  Meanwhile, others in the gang (banda) quietly and efficiently unfastened the ten sorting coaches at the back of the train, leaving just the front two fastened to the engine.  The valuable packets coach was the second of these.

David Whitby was brought back and the robbers made Jack Mills drive the train very slowly to Bridego Bridge, 600 metres down the railway.  They left the other ten coaches behind -the 70 sorters (tipos) still working inside them did not realize waht was happening.

Other gang members wearing balaclavas and army uniforms were waiting at the bridge whith Land Rovers and a three-tonne army lorry (camión).  They had tied (atado) something white to a stick by the railway to mark the place where they wanted te engine to stop.

They broke the windows of the valuable packets coach and made the Post Office sorters lie down (tumbarse) on the floor.  Next, the robbers passed 120 bags of old banknotes out into the darkness.

Fifteen minutes later, the rain robbers put handcuffs (esposas) on Mills and Whitby and warned (advirtieron) them not to try to escape for at least half an hour.  Then, leaving 8 bags behind, they disappeared into the night.



CHAPTER  2.
The robbery had taken a total of 24 minutes.  The 120 mailbags contained 2.5 million pounds in old notes.  It was at the time, the biggest robbery ever!
The newspapers were soon calling it "the crime of the century", and the Post Office quickly offered 10,000 pounds for information that would lead (conducir) to the arrest of the robbers.

How did the robbers change the railway signal from "GO" yo "STOP"?  was one of the first things detectives wanted to know.  They soon had the answer.  The robbers had covered the green "GO" signal with a glove (guante), then used their own red light which they had brought with them.

But, WHERE WERE THEY NOW?

Weeks before, the gang had bought an old farmhouse -called Leatherslade Farm- about 50 kilometres from the bridge.  They went there after the robbery to count their money.  Each man would get more than 150,000 pounds.

They had planned to stay at the farmhouse for four days, but during the afternoon of Thursday, August 8,  they heard something on the radio news that  made them change their plans.  Buckinghamshire Police announced that they were sure the gang were hiding not more than 50 km from Bridego Bridge.  In fact, the police were only guessing this because Mills and Whitby had been told not to try to get help for 30 minutes.  The gang would have needed longer than this to go more than 50 km to a hiding-place (lugar para esconderse).

The gang left Leatherslade Farm on Friday, August 9.
By the following Monday  the police had found the farmhouse where they were hiding.  Inside were Post Office mailbags.  Before long detectives had found the fingerprints (huellas dactilares) of several people in the gang, some of whom were well-known criminals -Bruce Reynolds, Buster Edwards, Ronnie Biggs, Bob Welch, Roy James, John Daly and Charlie Wilson.

NOW THE JOB OF FINDING THEM BEGAN!


CHAPTER 3
Roger Cordrey, who had fixed the railway signal to show red instead of green, and Bill Boal, another of the robbers, tried to find a garage for their van (furgoneta) in  Bournemouth.  But they picked the wrong person to ask.
The owner of the garage was the widow (viuda) of a policeman, and she immediately suspected something when the robbers paid her from a thick (grueso) packet of banknotes.  She phoned the police while the two men were putting their van into the garage.  The police caught them and found 78,892 pounds in the van.

More of the money was found in four suitcases in a wood (bosque) in Surrey, on August 16.  Then another 30,000 pounds was discovered in the ceiling (techo) of a caravan parked near the wood.

By the end of the year most of the gang had been caught.  Charlie Wilson was arrested without any trouble at his Clapham home.
Roy James was more difficult to catch.  He was hiding in a house in St John's Wood in north London.  But when he saw the police, James took a bag containing 12,000 pounds and climbed up on to the roof (tejado) to try and escape.  He jumped and ran along neighbours' roofs, but more than 40 policemen were in the surrounding streets and James finally jumped down into the waiting arms of one of them.

John Daly was arrested the same day.
Buster Edwards, Bruce Reynolds and Jimmy White were not found.  And so was 2 million pounds.
The trial (juicio)  of the others began on January 24, 1964.  The police did not want the trial to take place at the Old Bailey -the famous London criminal court - because they were afraid powerful London criminals might frighten people on the jury.

All the prisoners were tried (juzgados) together, and all but Roger Cordrey pleaded not guilty.  The trial took two months.

Neither Jack Mills nor David Whitby could be sure which had been the men behind the balaclavas and nobody had seen the robbers at the farm.  But the lawyers brought in a total of 200 witnesses, the judge took six days to talk to the jury, and the jury took two days to decide that all the robbers except John Daly were guilty.
The guilty men were sent to prison for up to 30 years.

Jimmy White was finally ...
TO BE CONTINUED!